21H04 - François Hollande "favorable" à l'accord à gauche
La décision de dissoudre l'Assemblée nationale « intervient au pire moment et dans les pires circonstances », a déploré l'ancien président François Hollande jeudi soir sur TF1, en appelant à faire barrage à « l'extrême droite » aux législatives des 30 juin et 7 juillet.
L'ancien chef de l'Etat a indiqué qu'il approuvait l'accord scellé à gauche par le "Nouveau Front Populaire". Il a plaidé, au second tour, pour un soutien aux candidats les mieux placés pour « éviter l'extrême droite », même s'ils sont « LR ou de la "majorité » présidentielle, défendant un « principe de désistement » de la gauche le cas échéant.
20H47 - Le "Nouveau Front populaire" annonce avoir « scellé un programme de gouvernement »
Les forces de gauche réunies dans le "Nouveau Front populaire" ont annoncé jeudi soir, après quatre jours de négociations, avoir « scellé » un « programme de gouvernement ». « Avec un programme de gouvernement et des candidatures uniques dans les circonscriptions de France, les forces politiques qui ont constitué le nouveau Front populaire donnent rendez-vous aux Françaises et aux Français les 30 juin et 7 juillet prochains », écrivent le PS, le PCF, les Ecologistes et LFI dans un communiqué commun. « Nous avons réussi. Une page de l'Histoire de France s'écrit », s'est réjoui sur X le premier secrétaire du PS Olivier Faure alors que le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon a salué « un événement politique considérable en France ».
18H50 - Manon Aubry affirme qu'un accord à gauche est « une affaire de minutes, tout au plus d'heures »
Les formations de gauche seraient tout proche d'un accord, d'après la députée européenne LFI Manon Aubry.
« C'est une affaire de minutes, tout au plus d'heures », déclare-t-elle sur RTL.
« D'ici ce soir on devrait avoir un package final qui devrait être prêt à la fois dans la distribution des circonscriptions, dans le programme, son ambition », indique Manon Aubry.
18H40 - LR reporte le bureau qui devait « valider » l'exclusion d'Eric Ciotti
Les Républicains reportent le bureau qui devait « valider » l'exclusion d'Eric Ciotti. Plusieurs cadres du parti ont annoncé mercredi que le président officiel était exclu du parti.
18H30 - A gauche, l'EELV Raphaëlle Rémy-Leleu candidate face à Julien Bayou à Paris
La conseillère EELV de Paris Raphaëlle Rémy-Leleu, militante écoféministe, a indiqué jeudi à l'AFP être candidate à l'investiture du nouveau « Front populaire » sur la circonscription de Paris où Julien Bayou veut se représenter, au nom de la « lutte contre les violences sexistes et sexuelles ». « Cette circonscription est un emblème de la réponse qu'apporte le nouveau Front Populaire à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles », écrit-elle dans sa candidature interne transmise à l'AFP.
Une autre écologiste, Rachel Savin-Puget, a annoncé mercredi sur X sa candidature dans la même circonscription parisienne où le député sortant Julien Bayou tente de se représenter. Ce dernier a annoncé lundi être candidat à sa propre succession, promettant de démissionner s'il est condamné pour les faits de harcèlement moral et abus de faiblesse dont l'accuse son ex-compagne.
18H25 - Éric Ciotti appelle « à cesser l'escalade de convocations illégales et inutiles »
Dans un communiqué signé « Les Républicains », Eric Ciotti estime que la nouvelle réunion du bureau politique des LR en fin de journée a « de nouveau été mise en oeuvre en violation flagrante de nos statuts ».
18H07 - Le CAC 40 perd 2%, plombé par la politique française
Avec l'annonce de la Réserve fédérale américaine, qui a prévenu mercredi soir anticiper une seule baisse des taux directeurs cette année aux Etats-Unis contre trois précédemment, et l'incertitude sur le futur gouvernement, l'indice phare de la Bourse de Paris a baissé de 1,99% ce jeudi à la clôture, à 7.708 points, quand l'indice européen l'Euro stoxx 600 a perdu 1,31%.
Depuis vendredi dernier, le CAC 40 a perdu 4,21% et même 6,29% depuis le 13 mai.
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17H43 - La cote de popularité d'Emmanuel Macron en forte baisse
Seuls 24% des Français disent faire « confiance » à Emmanuel Macron, en baisse de 5 points, selon un baromètre Elabe pour Les Echos réalisé dans les jours suivant l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale, et publié ce jeudi.
Il s'agit de son plus bas niveau depuis le début de son second mandat en 2022. Emmanuel Macron se rapproche également des 23% enregistrés en décembre 2018, pendant la crise des gilets jaunes. Un score qui était alors le plus faible niveau de confiance enregistré par le chef de l'Etat depuis sa première élection en 2017.
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17H32 - Jean-Luc Mélenchon décline le débat avec Gabriel Attal et Jordan Bardella
Le leader de La France insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon, a répondu par la négative, ce jeudi après-midi, sur X (ex-Twitter) à l'invitation des médias à débattre avec le Premier ministre, Gabriel Attal, et le président du Rassemblement national, Jordan Bardella.
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17H18 - Le recours d'Eric Ciotti contre son exclusion des LR examiné ce vendredi matin
La justice examinera, ce vendredi matin, le recours d'Eric Ciotti contre son exclusion du parti Les Républicains, selon l'AFP.
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17H15 - 60.000 signatures pour l'union des droites
Sur son compte X (ex-Twitter), le président des Républicains, Eric Ciotti, en pleine tourmente au sein de son parti, annonce que 60.000 personnes ont déjà signé la pétition en faveur de l'union des droites. « Merci de soutenir avec autant de ferveur, d'espoir et d'enthousiasme cette union des droites », a écrit le député sortant de la 1ere circonscription des Alpes-Maritimes.
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17h06 - Valérie Hayer de retour au Parlement européen
La tête de liste de la majorité présidentielle au élections européennes, Valérie Hayer, a fait son retour, ce jeudi, au Parlement européen. Après une campagne difficile, marquée par un score décevant de 14,6%, la Mayennaise a retrouvé ses collègues députés.
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17h00 - Le Medef auditionnera les chefs de parti le 20 juin sur leur programme économique
Le Medef a indiqué, ce jeudi, qu'il auditionnera avec d'autres organisations patronales les chefs de parti, le 20 juin, sur leur programme économique. Le syndicat des patrons a d'ores et déjà indiqué qu'il soutiendra aux élections législatives « les projets favorables aux réformes économiques et à l'ambition européenne ».
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16H51 - L'ancienne secrétaire d'Etat Juliette Méadel candidate sans étiquette
L'ancienne secrétaire d'Etat, chargée de l'aide aux victimes sous François Hollande, Juliette Méadel, a annoncé, ce jeudi sur X (ex-Twitter), être candidate sans étiquette dans la 11e circonscription des Hauts-de-Seine (Montrouge, Malakoff, Bagneux). « Vous me connaissez, je suis toujours la même : une femme de gauche, sociale-démocrate, républicaine, engagée et non encartée », a-t-elle défendu. « Ni RN, ni LFI, je ne laisserai pas faire. La gauche républicaine existe », a poursuivi l'ancienne porte-parole du Parti socialiste (PS), aujourd'hui magistrate à la Cour des comptes.
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16H33 - Eric Ciotti invité ce soir dans TPMP
Le président des Républicains (LR), Eric Ciotti, est l'invité de l'émission Touche pas à mon poste (TPMP) ce jeudi soir. Le patron des LR a déjeuné ce midi avec le président du Rassemblement national, Jordan Bardella. Seront également présents en plateau, la nouvelle députée européenne Reconquête, Sarah Knafo, et le député sortant du RN, Sébastien Chenu.
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16H09 - Le patron de la BPI appelle les patrons à se mobiliser contre « les programmes économiques des extrêmes »
Le directeur général de la Banque publique d'investissement (BPI), Nicolas Dufourcq, a appelé, mercredi, les patrons présents dans une boucle Whatsapp à se mobiliser contre « les programmes économiques des extrêmes » en soutenant localement des candidats aux législatives plus modérés, selon des propos rapportés par le média L'Informé.
« Les programmes économiques des extrêmes risquent d'abolir tout ce que nous/vous avons/avez accompli », a écrit le dirigeant dans une boucle Whatsapp regroupant une centaine de dirigeants d'entreprises, membres ambassadeurs de la communauté du « Coq Vert », engagée dans la transition écologique.
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15H52 - Le porte-parole de Renaissance, Loïc Signor, candidat dans le Val-de-Marne
Le porte-parole de Renaissance, Loïc Signor, sera candidat aux élections législatives dans le Val-de-Marne face au député sortant LFI, Louis Boyard. Ancien journaliste, Loïc Signor a notamment participé, ce printemps, à la « préparation médiatique » de Valérie Hayer, la candidate de la majorité présidentielle aux élections européennes.
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15H43 - François Hollande invité au JT de 20h de TF1
L'ancien président de la République, François Hollande, sera l'invité du JT de 20h de Gilles Bouleau ce jeudi. Ce sera la première réaction publique de l'ancien locataire de l'Elysée depuis l'annonce de la dissolution, dimanche, par Emmanuel Macron.
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15H27 - Gabriel Attal se dit « favorable » à un débat avec Mélenchon et Bardella
En campagne dans le Pas-de-Calais (Boulogne-sur-Mer) ce jeudi, le Premier ministre Gabriel Attal s'est montré « favorable » à un débat avec Jean-Luc Mélenchon et Jordan Bardella. « Il y a des propositions de médias, mes équipes ont été contactées », a-t-il précisé.
Ce débat « doit être entre ceux ou celles qui ont été plus ou moins identifiés comme potentiellement Premier ministre à l'issue de ces élections, Monsieur Bardella pour l'extrême droite et ses alliés, Monsieur Mélenchon pour l'extrême gauche et ses alliés, et puis moi-même pour ce bloc progressiste », a détaillé le locataire de Matignon.
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15H14 - Le sénateur Reconquête Stéphane Ravier soutient « l'Union nationale » initiée par Marion Maréchal
Le sénateur Reconquête des Bouches-du-Rhône, Stéphane Ravier, a annoncé, ce jeudi sur X (ex-Twitter), « s'inscrire dans la démarche de Marion Maréchal de soutenir l'Union nationale ». « A l'heure des plus grands périls, les hésitations et les atermoiements n'ont plus lieu d'être. Tout doit être mis en œuvre pour porter une majorité patriote au Parlement », insiste l'élu.
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15H00 - La socialiste Carole Delga exclut l'hypothèse Mélenchon à Matignon
Dans un communiqué publié sur X (ex-Twitter) ce jeudi, la présidente socialiste de la Région Occitanie Carole Delga ferme la porte à l'arrivée de Jean-Luc Mélenchon à Matignon, en cas de victoire de l'alliance de gauche. Pour cette membre du PS, la France « vit un véritable cauchemar démocratique » depuis dimanche. La socialiste appelle la gauche à proposer « une alternative sociale et écologique à l'extrême droite ».
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14H51 - Le député Renaissance Alexandre Holroyd passe la main
Député Renaissance des Français établis à l'étranger (Royaume-Uni et Europe du Nord), Alexandre Holroyd annonce, ce jeudi sur X (ex-Twitter), ne pas se représenter aux prochaines élections législatives. « Cette mission a été l'honneur de ma vie », a-t-il réagi. Le député « passe le flambeau » à Vincent Caure, actuel conseiller du ministre des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, lui-même candidat dans une circonscription des Hauts-de-Seine.
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14H25 - Stéphane Séjourné candidat dans les Hauts-de-Seine
Le ministre des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, sera candidat aux élections législatives dans les Hauts-de-Seine à Boulogne-Billancourt, a indiqué Renaissance. Avant d'entrer au gouvernement, ce proche d'Emmanuel Macron a présidé le groupe Renew au Parlement européen.
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14H20 - L'ancien ministre Damien Abad va se représenter dans l'Ain
L'ex-ministre des Solidarités, Damien Abad, mis en examen pour tentative de viol, a annoncé, ce jeudi, qu'il allait se représenter dans sa circonscription de l'Ain. Un territoire où le Rassemblement national est arrivé largement en tête, dimanche, lors des élections européennes. « Je pars en candidat divers droite sans étiquette », a-t-il indiqué, en précisant être soutenu par la majorité présidentielle. Avant son ralliement au bloc macroniste, Damien Abad avait présidé le groupe des députés Les Républicains au Palais Bourbon.
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14H08 - L'agriculture a « besoin de rester dans un monde ouvert », défend la FNSEA
L'agriculture française, qui est dépendante des échanges et des travailleurs saisonniers étrangers, « a besoin de rester dans un monde ouvert », a martelé Arnaud Rousseau le président de la FNSEA, le premier syndicat agricole de France, à l'AFP, ce jeudi. Le syndicat veut rester, à trois semaines des élections législatives, « un repère » et « assume de réaffirmer que l'Europe est le cœur du réacteur agricole, qu'on a besoin de rester dans un monde ouvert, d'échanges régulés, et que le protectionnisme ou la renationalisation ne tiennent pas à l'aune de la réalité ».
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13H45 - Les négociations du « Front populaire » patinent
Les négociations entre les différentes formations de gauche du nouveau « Front populaire » semblaient achopper jeudi, au quatrième jour des discussions, sur la question du programme et de la répartition des nouvelles circonscriptions.
« Sur les circonscriptions rien n'est débloqué, ça coince sur le rééquilibrage entre le Parti socialiste et La France insoumise », indique une source écologiste, insistant sur la nécessité d'un « rééquilibrage sur les circonscriptions potentiellement gagnantes ». « Ce n'est pas parce qu'on donne 100 circonscriptions de plus au PS que c'est les bonnes pour gagner, c'est sur les circonscriptions difficiles que ça joue », précise cette source.
Sur certaines circonscriptions, « les Insoumis veulent rien lâcher, même dans celles où c'était visiblement pas le bon profil la dernière fois puisqu'ils l'ont pas emporté », note un socialiste.
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13H35 - Deux candidates macronistes appellent à un « barrage républicain » face à Adrien Quatennens
Les candidates macronistes et conseillères municipales de Lille Violette Spillebout (Renaissance) et Vanessa Duhamel (MoDem) appellent à un « barrage républicain » face à Adrien Quatennens (LFI), qui envisage de se représenter dans le Nord malgré sa condamnation à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales en 2022.
« Nous appelons la gauche lilloise, socialiste, écologiste ou communiste à avoir le courage de présenter un candidat dans la 1ère circonscription du Nord, hors du Front Populaire. Dans cette hypothèse et par respect pour toutes les femmes victimes de violences conjugales, la majorité ne présenterait pas de candidat aux élections législatives du 30 juin prochain, et nous appellerions à voter pour le candidat choisi par la gauche socialiste, écologiste et communiste », écrivent-elles dans un communiqué.
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13H15 - Fabien Roussel : « Les débats sont un peu tendus » à gauche
« Nous sommes quasi parvenus à trouver un accord. Nous sommes en train de discuter sur les candidatures uniques avec l'objectif de gagner. Les débats sont un peu tendus parce qu'il faut choisir les meilleurs d'entre nous en capacité de gagner, et peut-être pas les mêmes qu'en 2022. Il y a un bon dialogue très sincère, très franc entre l'ensemble des forces politiques », déclare le secrétaire national du PCF Fabien Roussel. « Nous voulons présenter dans les heures qui viennent un programme », a-t-il ajouté.
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13H10 - François Hollande au 20H de TF1 ce jeudi
François Hollande doit prendre la parole au 20H de TF1 ce jeudi, selon L'Opinion. L'ancien président devrait prendre position au sujet du nouveau « Front populaire ».
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12H51 - Gabriel Attal est arrivé à Boulogne-sur-Mer
Gabriel Attal vient d'arriver à Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, pour son premier déplacement de campagne. Le Premier ministre vient soutenir le député Renaissance sortant Jean-Pierre Pont, élu de justesse face au RN en 2022.
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12H25 - Un chroniqueur de CNews investi par le RN à Belfort
Guillaume Bigot, membre de la revue Front populaire et chroniqueur sur CNews, Europe 1 Sud Radio, a annoncé être candidat du Rassemblement national dans la 2e circonscription du Territoire de Belfort, selon L'Est Républicain.
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12H15 - Éric Ciotti seul dans son bureau au siège de LR
Éric Ciotti a publié sur X une vidéo sur laquelle il apparaît seul dans son bureau au siège des Républicains à Paris. « Au travail pour la France ! », écrit-il, alors qu'un nouveau bureau politique LR a été convoqué pour valider son exclusion du parti.
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12H10 - Manifestations contre l'extrême-droite ce week-end
À l'appel de cinq confédérations syndicales, l'ensemble de la gauche et des associations défileront ensemble samedi et dimanche à travers la France dans l'espoir de créer une mobilisation des électeurs pour empêcher l'avènement d'une majorité d'extrême droite à l'Assemblée nationale.
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11H45 - François-Xavier Bellamy voterait « bien sûr » pour le RN face à la gauche au second tour
La tête de liste les Républicains aux élections européennes, François-Xavier Bellamy, a indiqué que si le RN était face à un candidat de l'alliance de gauche Front populaire au second tour des élections législatives et dans le cas où LR serait absent dans cette circonscription, il voterait « bien sûr » pour le parti d'extrême droite.
« Je ferai tout pour empêcher que La France insoumise arrive au pouvoir », a ainsi justifié l'eurodéputé sur Europe 1 qui refuse que « la France tombe dans cette alliance d'extrême gauche ».
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11H35 - Nouveau bureau politique LR : « totalement illégal » selon Éric Ciotti
« On pourra en faire tous les jours », a ironisé devant la presse Éric Ciotti après la convocation du nouveau bureau politique LR pour valider son exclusion du parti ce jeudi. « C'est une procédure totalement illégale », a-t-il déclaré. Éric Ciotti se dit « très combatif ». « On va gagner ces élections pour la France », sous l'étiquette « de la droite républicaine, de ma famille politique » a-t-il ajouté, défendant « une union de la droite qui organise le renouveau de la France ».
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11H30 - La majorité sous la bannière « Ensemble pour la République »
La coalition présidentielle pour les élections législatives anticipées s'appellera « Ensemble pour la République », a-t-on appris jeudi auprès d'un des hiérarques du camp d'Emmanuel Macron. Un « comité stratégique » de campagne s'est réuni jeudi au siège du parti présidentiel Renaissance en présence de Gabriel Attal et de plusieurs ministres et des chefs des partis de la majorité, Stéphane Séjourné (Renaissance), Édouard Philippe (Horizons), François Bayrou (MoDem), mais également le président de l'UDI, Hervé Marseille.
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11H18 - Nouveau bureau politique LR pour exclure Ciotti
Le parti Les Républicains (LR) a convoqué jeudi un nouveau bureau politique « pour valider » l'exclusion de son président Eric Ciotti approuvée mercredi par cette même instance, a-t-il indiqué dans un communiqué.
« Nous avons très largement recueilli plus du quart des signatures des conseillers nationaux LR qui maillent le territoire national, démontrant que les cadres, les militants et les adhérents ne cautionnent pas un accord avec le RN », assure le parti dans un communiqué, ajoutant que « la fin est proche » pour Éric Ciotti.
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11H00 - Adrien Quatennens cherche à se représenter dans le Nord
Selon les informations de L'Opinion, le député du Nord Adrien Quatennens aurait envoyé un texte à plusieurs « femmes, de gauche, féministes » de son entourage pour soutenir sa candidature aux législatives, malgré sa condamnation en décembre 2022 à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales sur son ex-compagne.
« L'indécence a un nom. Députés et candidats socialistes, écologistes, communistes, vous laisserez faire ? Tout est donc acceptable pour garder sa propre investiture ? » a réagi la ministre chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé.
« L'union autour du #FrontPopulaire oui. Au prix de nos valeurs, certainement pas. Je n'accepterai jamais que la lutte contre les violences faites aux femmes soit sacrifiée. Monsieur Quatennens abime l'union, qu'il nous laisse travailler », a de son côté déclaré sur X la présidente de la région Occitanie, Carole Delga (PS).
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10H12 - Éric Ciotti se rend à son bureau au siège de LR
Éric Ciotti vient d'entrer au siège des Républicains. Le président exclu mercredi par un bureau politique se dit « moins » isolé « que jamais » et redit que « le soutien des militants est très fort ». « Je suis président du parti. Je vais à mon bureau », a-t-il déclaré à la presse. « Le coup de force, c'est ceux qui ne respectent pas les statuts », a-t-il lancé, avant d'ajouter que « le tribunal judiciaire de paris a été saisi en référé pour contester la validité de cette décision qui n'a aucun sens ». Éric Ciotti n'a pas confirmé déjeuner avec Jordan Bardella ce midi.
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9H40 - Éric Ciotti doit déjeuner avec Jordan Bardella
Éric Ciotti doit déjeuner avec Jordan Bardella ce midi après sa proposition d'alliance avec le Rassemblement national, selon les informations de BFMTV.
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9H25 - François Ruffin se sent « capable » d'être Premier ministre
« Je m'en sans capable. Si jamais il y a un consensus sur un nom, je suis prêt à prendre la place qu'on voudra pour transformer la vie des gens », a déclaré François Ruffin ce jeudi, après qu'un auditeur de France Bleu Picardie a demandé au député de la Somme (LFI) s'il voulait devenir Premier ministre.
« Si jamais dans l'histoire de notre pays, quel que soit le poste que je puisse occuper, si c'est à Matignon comme Premier ministre, pourquoi pas, mais si c'est comme ministre des Sports et que je parviens à donner le sport pour tous, pour tous les enfants de notre pays, j'en serai fier. Je serai fier d'avoir apporté ça aux gens », a-t-il affirmé.
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9H10 - Marion Maréchal n'a pas « rallié ou rejoint » le RN
« Je n'ai en aucun cas rallié ou rejoint le Rassemblement national. J'ai apporté mon soutien à une coalition. Je n'ai pas négocié quoi que ce soit pour obtenir un pseudo poste de ministre le moment venu. J'ai juste essayé de rester fidèle à la promesse initiale de Reconquête (...) de coalition des droites », affirme Marion Maréchal sur TF1.
« Je n'ai pas négocié quoi que ce soit, je n'ai pas cherché à obtenir un poste de ministre, je n'ai pas cherché une place (...) Je ne serai pas candidate aux législatives. J'ai fait ça par cohérence », a-t-elle ajouté.
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9H00 - L'exclusion de Reconquête « s'impose à moi », déclare Marion Maréchal
L'exclusion du parti Reconquête « s'impose à moi », déclare Marion Maréchal sur TF1 ce matin. « J'en suis triste et je vis ça comme une injustice. J'ai essayé jusqu'ici de rester fidèle au moteur de mon engagement Reconquête, à savoir la défense de l'union des droites », a affirmé la députée européenne. « Je suis exclue sur un désaccord politique avec Éric Zemmour », a-t-elle expliqué
« Éric Zemmour a fait le choix de présenter un maximum de candidats Reconquête contre cette coalition du RN, allié à un certain nombre de Républicains. Je considère aujourd'hui que notre responsabilité historique pour les Français, pour notre pays, c'est au contraire de ne pas mener des candidatures de division pour ne pas affaiblir ce bloc national et ne pas compromettre la potentielle victoire de ce bloc ».
« Depuis lundi, j'ai passé 48 heures à tenter d'obtenir coûte que coûte un accord avec le RN pour Reconquête (...) L'argument qui m'a été avancé par le RN étant qu'ils ne souhaitaient pas travailler avec Éric Zemmour et sa structure parce qu'ils n'avaient pas confiance en raison de son attitude à l'égard du RN durant les élections européennes », a par ailleurs affirmé Marion Maréchal.
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9H00 - Réforme de l'assurance chômage : Attal annonce un décret « d'ici au 1er juillet »
Le Premier ministre Gabriel Attal a assuré jeudi sur France inter que le décret réformant à nouveau l'assurance chômage, très contesté à gauche, serait bien pris « d'ici au 1er juillet », en pleine campagne des législatives anticipées.
Un projet de décret du gouvernement est actuellement en cours d'examen par le Conseil d'État pour une réforme qui durcit l'accès à une indemnisation et la durée de celle-ci. La veille, Emmanuel Macron avait assuré être ouvert sur les « modalités ».
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8H50 - Gabriel Attal dénonce l'accord de la gauche derrière LFI
Gabriel Attal regrette que « les partis de gauche ont annoncé un accord derrière la France insoumise, qui se taille la part du lion avec la majorité des circonscriptions ». « J'ai milité au Parti socialiste donc oui, ça me rend triste de voir ce parti à nouveau se mettre derrière la France insoumise », a-t-il déclaré sur France Inter.
« Ça me rend triste de voir les sociaux-démocrates faire alliance avec le NPA de Philippe Poutou, ceux qui ont inventé la laïcité se retrouver avec ceux qui carburent au communautarisme, les défenseurs de Dreyfus avec ceux qui sont poursuivis pour apologie du terrorisme parce qu'ils ont refusé de condamner ce qu'il s'est passé le 7 octobre ».
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8H30 - Gabriel Attal : « Je ne suis pas dans la sidération, je suis dans l'action »
Gabriel Attal affirme avoir été « consulté en tant que Premier ministre » par Emmanuel Macron avant l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale dimanche soir. « Je ne suis pas dans la sidération, je suis dans l'action », a toutefois lancé le chef du gouvernement au micro de France Inter ce jeudi matin, refusant de « commenter ses échanges » avec le président de la République.
Le Premier ministre a rappelé les « deux raisons » de la décision d'Emmanuel Macron : « d'abord face à une Assemblée nationale au bord de l'asphyxie, avec des tensions de plus en plus fortes entre l'extrême droite et l'extrême gauche qui menaçaient l'action et le travail, et une défaite électorale avec près de 50% des Français qui ont fait le choix de voter pour les extrêmes ».
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8H20 - Olivier Faure « ne disqualifie pas » Mélenchon au poste de Premier ministre
Le premier secrétaire du parti socialiste, Olivier Faure, a déclaré jeudi qu'il « ne disqualifie pas » le leader insoumis Jean-Luc Mélenchon pour devenir Premier ministre en cas de victoire de la gauche aux législatives anticipées. « Je ne le disqualifie pas, je dis juste que ce choix sera un choix collectif », a-t-il dit sur RMC, ajoutant n'avoir « pas de problème avec le fait qu'il (M. Mélenchon) considère qu'il est de ceux qui peuvent prétendre à cette fonction ».
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7H45 - Éric Ciotti menace d'« actions judiciaires » en cas d'« obstacles » à sa présidence des LR
Invité de France 2 ce jeudi matin, Éric Ciotti a assuré jeudi qu'il serait « dans son bureau dans quelques instants » malgré son exclusion la veille par un bureau politique LR. Le président des Républicains a dénoncé « des arguties, des petits combats de gens médiocres, d'arrière-garde qui n'ont rien compris à ce qu'il se passe dans le pays ».
« Ce n'est pas un bureau politique, a-t-il contesté. Il n'y avait pas de bureau politique hier. Le bureau politique, il est convoqué par le président selon des règles précises. Je n'ai pas convoqué ce bureau politique donc il n'a aucune valeur juridique », a affirmé Éric Ciotti. « C'était une réunion de personnes. On a vu le retour de tous ceux qui ont fait perdre la droite depuis des décennies », a-t-il ajouté.
« S'il y a des obstacles à la présidence légitime que je dispose (sic), il y aura des actions judiciaires, y compris des actions pénales », a menacé le président LR, précisant que « toutes les voies de droit seront ouvertes pour que j'exerce mes responsabilités ».
Celui qui a conclu une alliance avec le Rassemblement national dans la perspective des législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet s'est félicité sur France 2 de « l'union des droites », assurant que le qualificatif d'extrême droite donné à Marine Le Pen était « tellement ridicule », « tellement usé ».
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7H10 - Des candidatures communes pour les non indépendantistes en Nouvelle-Calédonie
Plusieurs partis non indépendantistes comme Générations NC, porté par Nicolas Metzdorf, et Les Républicains-LR, emmené par Alcide Ponga, ont annoncé jeudi des candidatures communes dans les deux circonscriptions de la Nouvelle-Calédonie pour les élections législatives.
Nicolas Metzdorf, député Renaissance sortant de la deuxième circonscription, sera candidat dans la première et Alcide Ponga, président des Républicains-LR en Nouvelle-Calédonie et maire de Kouaoua, représentera l'union dans la seconde, ont indiqué les deux hommes lors d'une conférence de presse à Nouméa.
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7H05 - Des milliers de manifestants contre le RN mercredi soir
De nouvelles manifestations contre l'extrême droite mercredi soir dans plusieurs villes, dont Lille, Toulouse ou Lyon, ont réuni au total plus de 11.700 personnes, dont beaucoup de jeunes, selon une source policière. « Tout le monde déteste Bardella », scandait la foule dans le centre de Lyon, où près de 4.500 personnes ont manifesté contre le Rassemblement national (RN), selon la préfecture.
À Toulouse, plusieurs centaines de personnes sont descendues dans la rue, alors que la préfecture avait interdit toute manifestation. « RN=SouFrance », « Le Front populaire contre Hitler », « A bas le R-Haine » ou « La France Pétain plomb », pouvait-on lire sur des pancartes. À Lille, quelque 700 manifestants anti-RN, dont beaucoup de jeunes, ont rejoint le cortège hebdomadaire des sans-papiers, scandant entre autres « Bardella casse-toi, l'Assemblée n'est pas à toi ! ».
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6H45 - Marion Maréchal exclue de Reconquête
Éric Zemmour a annoncé mercredi soir sur BFMTV qu'il excluait Marion Maréchal de Reconquête, dénonçant la « trahison » de la tête de liste de son parti pour les élections européennes, qui « a toujours méprisé » son mouvement.
« Elle accomplit le bout du chemin, c'est-à-dire qu'elle s'exclut d'elle-même de ce parti qu'elle a toujours méprisé », a expliqué le candidat à la présidentielle de 2022. Marion Maréchal avait annoncé un peu plus tôt qu'elle appelait à voter pour les candidats soutenus par le Rassemblement national aux législatives du 30 juin et du 7 juillet.
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6H40 - Mélenchon Premier ministre ?
Le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a dit mercredi soir se sentir « capable » d'être Premier ministre d'un gouvernement de gauche en cas de victoire du nouveau « Front populaire » aux élections législatives anticipées, mais a appelé à « attendre » le résultat des élections.
« Je sais quelle est ma contribution à la vie de la gauche. Je dis la chose suivante : on va en rester à la formule qu'a proposée Olivier Faure, c'est le groupe parlementaire le plus important qui propose un Premier ministre », a déclaré le triple candidat à la présidentielle sur France 2.
« Je ne m'élimine pas mais je ne m'impose pas », a également précisé le fondateur de La France insoumise, qui, fort de ses 22% à la présidentielle, avait fait acte de candidature pour le poste de Premier ministre en 2022 au moment des législatives, poussé par l'alliance de la Nupes.
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6H35 - « Une pente énorme à remonter » pour François Ruffin à Amiens
Le député sortant François Ruffin (LFI), cité parmi les possibles têtes d'affiche d'un « Front populaire » en cours de création, a souligné mercredi à Amiens qu'il lui fallait d'abord faire campagne car « il y a une pente énorme à remonter » face au Rassemblement national. « Sur la ligne de départ », la candidate RN « est le lièvre et je suis la tortue, il faut que je remonte ce retard énorme », a-t-il souligné à Amiens où le RN est arrivé en tête des élections européennes dimanche avec 24,80% des voix, suivi par La France Insoumise (18,60%) puis la liste macroniste (15,54%).
François Ruffin a estimé qu'il fallait une « gauche unie » pour « faire face à l'union des racistes et des nantis en face », en marge du lancement de sa campagne pour la première circonscription de la Somme, qui comprend une partie d'Amiens et Abbeville.
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6H30 - Gabriel Attal en campagne dans le Pas-de-Calais ce jeudi
Le Premier ministre Gabriel Attal effectuera son premier déplacement de campagne pour les élections législatives jeudi à Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, fief électoral du Rassemblement national, a annoncé mercredi soir Matignon.
Après un passage sur la radio France Inter, il ira « sur le terrain, au contact des Français » en soutien de Jean-Pierre Pont, candidat de la majorité dans la 5e circonscription du Pas-de-Calais pour le scrutin des 30 juin et 7 juillet. Il terminera sa journée dans l'émission Quotidien sur la chaîne TMC.
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6H20 - Sondage : le RN à 31%, la gauche unie à 28% et la majorité à 18%
Le RN obtiendrait 31% des voix au premier tour des législatives le 30 juin devant l'alliance de gauche à 28%, la majorité à 18% et LR à 6,5%, selon un sondage Elabe qui donne une majorité relative en sièges au parti de Jordan Bardella à l'issue du second tour le 7 juillet.
Dans cette enquête réalisée pour BFMTV et La Tribune Dimanche, « en fonction du rapport de force actuel mesuré dans l'intention de vote et du résultat aux élections précédentes, le Rassemblement National obtiendrait entre 220 et 270 sièges, l'alliance de gauche entre 150 et 190 sièges, Renaissance/alliés entre 90 et 130 sièges, LR/DVD entre 30 et 40 sièges et les autres forces politiques entre 10 et 20 sièges ».
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6H10 - LR investit tous ses députés sortants, sauf Ciotti et une de ses proches
Les Républicains ont décidé mercredi de réinvestir tous leurs députés sortants aux législatives anticipées, à l'exception de leur président tout juste exclu, Éric Ciotti, et de Christelle D'Intorni, favorables à une alliance avec le Rassemblement national, a annoncé à l'AFP le chef des députés LR Olivier Marleix.
« Il y aura un candidat LR contre Eric Ciotti dans sa circonscription », a ajouté Olivier Marleix, qui s'exprimait à la sortie d'une commission nationale d'investiture des Républicains. Exclu mercredi par un bureau politique de LR qu'il juge « illégal », Eric Ciotti avait néanmoins déjà estimé que cette commission d'investiture n'avait selon lui « aucune existence juridique et légale », laissant entrevoir une bataille juridique à LR.
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06H00 - Bienvenue dans ce direct
Bienvenue dans ce direct après l'annonce d'Emmanuel Macron dimanche soir de la dissolution de l'Assemblée nationale. Le président de la République s'est de nouveau exprimé hier lors d'une conférence de presse où il a donné les grandes lignes de son cap politique en vue des législatives anticipées. Retrouvez le récapitulatif de son intervention ici.
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Emmanuel Macron a annoncé dimanche soir la dissolution de l'Assemblée nationale après la victoire écrasante de l'extrême droite aux élections européennes et convoqué des élections législatives le 30 juin et le 7 juillet.
« Après avoir procédé aux consultations prévues à l'article 12 de notre Constitution, j'ai décidé de vous redonner le choix de notre avenir parlementaire par le vote. Je dissous donc ce soir l'Assemblée nationale », a déclaré le chef de l'Etat dans une allocution télévisée après l'annonce des résultats. « Je signerai dans quelques instants le décret de convocation des élections législatives qui se tiendront le 30 juin pour le premier tour et le 7 juillet pour le second », a-t-il ajouté.
