Pouvez-vous nous dire quelques mots sur votre expertise dans le domaine de l'actuariat ?
FIXAGE s'est positionnée depuis son origine sur l'actuariat : tout l'actuariat, rien que l'actuariat. Elle reste dans cette logique d'autant plus facilement que le domaine de l'actuariat s'étend par le progrès technique.
Directives DORA et FIDA, revue de Solvabilité II : pouvez-vous nous en dire plus sur les enjeux du moment dans le secteur de l'actuariat ? Quelles solutions mettez-vous en place concrètement ?
DORA traite de la résilience des assureurs, notamment face au risque cyber, mais n'impose pas un nouveau corpus complet de reporting : il s'agit d'intégrer des modules supplémentaires aux reporting existants.
FIDA fait encore débat, les assureurs en général n'aiment pas mettre leurs données à disposition en open source. Nous aidons nos clients à structurer leurs informations et à les utiliser pour gagner en productivité et en efficacité tout en respectant strictement la conformité aux règles et notamment à la RGPD.
Face à la concurrence d'autres entreprises et d'intervenants free-lance présents sur le marché de l'actuariat, comment votre entreprise Fixage parvient-elle à se démarquer ?
Nous bénéficions de la confiance de nos clients depuis 32 ans. Fixage est référencé et reçoit des appels d'offres. Nous ne travaillons qu'avec nos propres actuaires embauchés en CDI.
Nous n'affectons jamais nos stagiaires et alternants à des missions et nous investissons continuellement dans la formation de nos actuaires. Nous assurons ainsi à nos clients la qualité actuarielle, la confidentialité et la continuité des missions.
Quels sont d'ailleurs les perspectives d'avenir et les prochains autres grands défis dans le monde de l'actuariat en France ?
La réforme de Solvabilité II, la Qualité des Données, l'Intelligence Artificielle et son interprétabilité donnent de la visibilité aux actuaires pour leurs travaux à venir.
Comment devrait évoluer le secteur de l'actuariat ?
Les captives de réassurance et leur provision pour résilience, d'une part, et le contrôle de l'intérêt du contrat pour le client (value for money), d'autre part, apportent de nouvelles demandes d'actuariat.
La consultation du présent article est notamment soumise aux CGU de Scribeo
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